Un rêve mandarine
Francis Valéry
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Un rêve mandarine est une des plus belles choses que la littérature en langue française m’ait apportée. J’ai rarement ressenti ce besoin. Rarement à ce niveau là, du moins. Ni cette envie.
Bon, après cette entrée en matière des plus inhabituelles, je vais tenter de me ressaisir, parce que cela risque d’être compliqué de livrer un article si je reste dans cet état là. Du coup je fais contrepoids, là, direct : Un rêve mandarine n’est pas un chef d’oeuvre littéraire. Tout au plus un excellent recueil. Parce que c’est bien de ça dont il s’agit. Un recueil.
Mais un recueil avec un titre un peu niais. De prime abord. Et puis… Et puis bordel, c’est probablement dû à des sensibilités qui me sont proches, des thématiques dans lesquelles je trouve mes repères rapidement et qui me font tourner en rond dans un cocon duveteux de contentement et d’aisance figurative.
Et… Bon. Un rêve mandarine est une des plus belles choses qu’un conte en langue française m’ait faite découvrir. Disons que comme ça, ça devrait passer.