La Rédemption d’Althalus (The Redemption of Althalus)
David & Leigh Eddings
« DIS VIL FAQUIN ! DIS TU AS LU LA BELGARIADE, DIS ? DIS TU NOUS EN PARLE QUAND, DIS ! DIS ! » Cela fait des semaines, des mois, que j’essaie de rester poli et posé devant tant de sollicitations, si posé et poli que j’en viens presque à me demander où sont passés mon sens de la répartie, hors du commun vous en conviendrez – je vous vois déjà venir : « oui mais tu te parles à toi-même c’est facile d’avoir de la répartie hein !« , et je vous répondrai que si vous expérimentiez ne serait-ce qu’une journée le bordel qu’il y a dans ma tête vous n’auriez pour moi que le plus profond des respects -, ainsi que mon esprit, critique et acerbe acéré comme un chainkill (comment ça, j’ai pas le droit d’utiliser des anglicismes hors contexte ? Je suis Français je vous f’rais dire !) – j’ai rayé acerbe parce que ça collait pas avec le jeu de mot que je voulais faire et qui était mieux que celui-ci mais que j’ai oublié entre le moment où j’ai rayé acerbe et le moment où j’ai voulu l’écrire. Toujours partant pour faire un tour dans ma tête ?
Bref, ce paragraphe introductif t’aura appris une chose, cher lecteur – là j’ai juste barré cher parce que ma maman elle m’a appris que mentir, eh bah c’est mal -, c’est que j’essaie de noyer le poisson. Ce qui est con puisqu’il vit sous l’eau. Ce qui est précisément mon objectif. L’article qui va suivre, tâchera néanmoins d’être à la hauteur du sommet de la littérature fantastique que voilà : David Eddings, featuring Madonna Leigh Eddings – là j’ai barré Madonna parce que j’aime bien barrer des trucs.
Autant vous le dire tout de suite, ça va chier dans les boîtes jaunes, désolé d’avance pour les amis postiers.