London Bone (London Bone)
Michael Moorcock
A lire sur cette B.O., vous allez comprendre pourquoi très vite.
Comme je le disais dans le premier article de cette année 2016, La Faquinade va continuer de suivre sa ruée vers l’or, pas celui de Cendrars. Notre but a toujours été et sera toujours de faire découvrir les tenants et les aboutissants de nos littératures de l’imaginaire tant appréciées.
Alors pour cela, il est vrai, nous participerons à mettre sur le devant de la scène des auteurs qui n’en ont plus besoin tant leur renommée est importante – cela ne veut pas dire qu’ils ne le méritent pas pour autant – et, par là même, nous continuons à soutenir la tradition franco-française de mettre en lumière toujours les mêmes sans aller voir derrière – nous avions d’ailleurs posé la question à James Barclay lors de notre interview.
Mais, quitte à faire nos tête d’ampoule jusqu’au bout, nous vous inviterons, autant que faire se peut, à découvrir ces grands noms au travers d’oeuvres alternatives comme c’est le cas aujourd’hui, avec Michael Moorcock.