Soleil Vert (Make Room! Make Room!) & Soleil Vert (Soylent Green)
Harry Harrison
& Richard Fleischer
Nous sommes bien proches de 2022. Et, justement, peut-être est-il temps d’ouvrir les yeux sur notre avenir.
Je crois que si je devais tenter de vous convaincre de lire et de voir les deux oeuvres du jour, c’est peut-être une des catchlines que j’utiliserais. Mes professeurs et autres maîtres de conférence de la faculté se moqueraient bien d’une approche aussi pauvre mais qu’importe, leurs esprits étriqués ne liront jamais ces lignes.
Pour fêter l’énième résurrection de la Faquinade, il fallait bien marquer le coup et s’attaquer à un gros morceau, histoire d’essayer de s’auto-convaincre qu’on est toujours dans le coup. Un peu comme ces jeunes vieux qui essaient de se persuader qu’ils sont toujours jeunes et se niquent un genou en sautant d’un trottoir. Un naufrage, la vieillesse, j’vous jure.
Nous revoilà donc avec l’envie de recoller les morceaux d’un ensemble si complexe qu’il a dépassé son cadre initial de façon tellement spectaculaire qu’on ne saurait aujourd’hui, sauf à s’y méprendre, trouver 3 personnes dans la rue qui soient du même avis sur le propos.
La question est donc : quel est le mien ? Eh oui, au final, ici bas, il n’y a qu’un seul avis qui compte, celui de los Faquinos Niños.

Nouveaux Millénaires : jamais nom de collection n’aura mieux collé. #JoyeuxSiècle !