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News 17 / 26.12.15 / Lire en Fêtes

Hugh,

Ici Vil. Après une absence de presque quatre mois sur le sujet des news made in La Faquinade, sur les évolutions futures du site ou ses grandes accointances à venir, je reviens vers vous… en ce moment décisif, comme dirait un vieux barbu de mes amis.

Alors, avec la flemme des Fêtes de fin d’année, je profite de ce samedi pour squizzer l’habituel article et prendre un peu de répit, histoire de calmer ma crise de foie et profiter un peu des présents d’une famille formidable en les usants sur les terrains boueux de ma merveilleuse Bourgogne natale.

Et si vous avez l’impression que je raconte ma life au lieu de rentrer dans le vif du sujet, non seulement vous avez raison mais en plus je m’en vais vous balancer les résultats du concours donné sur les réseaux sociaux pour me faire pardonner. PAF ! Foi de Faquin !

Lire en Fêtes, c'est ça : offrir des lectures aux lecteurs ! All hail!

Lire en Fêtes, c’est ça : offrir des lectures aux lecteurs ! All hail!

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Y F’rait beau voir – Les Chroniques des Ravens

Les Chroniques de Raven (Chronicles of the Ravens)

James Barclay

Il y a des auteurs anglo-saxons qui tiennent toujours le haut de l’affiche et dont on parle régulièrement entre non-initiés quand on aborde le sujet de la fantasy. Vous savez, cette littérature pour ados attardés et mal dans leur peau. Parmi ces auteurs, donc, on notera dans les premiers rangs les David, Gemmell ou Eddings, dont on avait dit (respectivement) ici et là ce qu’on en pense. Et puis il y a les autres, qui squattent les devants de l’affiche, les Martin, les Lindholm-Hobb et les (mauvais) Goodkind, se mêlant aux classiques absolus du genre, Tolkien, Lewis et Pullman.

Et puis, gentiment cachés derrière, il y a les autres dont on parle moins mais qui proposent tout autant sinon plus (plus que Goodkind, vous me direz, ça ne peut pas être compliqué), les prolifiques Feist et les Jordan, et les Moorcock.

Et seulement après ceux-là se distinguent d’autres, les éternels seconds couteaux d’une littérature trop souvent réduite – périphrasée, même – à ceux qu’on a cité précédemment. Et pourtant dans ceux-là, on a des perles et des auteurs au style puissant, direct, parfois inattendu.

James Barclay est de ceux-là. Et, il y a 10 ans, il m’a mis une énorme claque.

Admirez la classe décharnée d'Aubemort et la survie de cet excellent tome à travers une décennie de la vie d'un Faquin.

Admirez la classe décharnée d’Aubemort et la survie de cet excellent tome à travers une décennie de la vie d’un Faquin.

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La Rédemption d’Althalus

La Rédemption d’Althalus (The Redemption of Althalus)

David & Leigh Eddings

« DIS VIL FAQUIN ! DIS TU AS LU LA BELGARIADE, DIS ? DIS TU NOUS EN PARLE QUAND, DIS ! DIS ! » Cela fait des semaines, des mois, que j’essaie de rester poli et posé devant tant de sollicitations, si posé et poli que j’en viens presque à me demander où sont passés mon sens de la répartie, hors du commun vous en conviendrez – je vous vois déjà venir : « oui mais tu te parles à toi-même c’est facile d’avoir de la répartie hein !« , et je vous répondrai que si vous expérimentiez ne serait-ce qu’une journée le bordel qu’il y a dans ma tête vous n’auriez pour moi que le plus profond des respects -, ainsi que mon esprit, critique et acerbe acéré comme un chainkill (comment ça, j’ai pas le droit d’utiliser des anglicismes hors contexte ? Je suis Français je vous f’rais dire !) – j’ai rayé acerbe parce que ça collait pas avec le jeu de mot que je voulais faire et qui était mieux que celui-ci mais que j’ai oublié entre le moment où j’ai rayé acerbe et le moment où j’ai voulu l’écrire. Toujours partant pour faire un tour dans ma tête ?

Bref, ce paragraphe introductif t’aura appris une chose, cher lecteur – là j’ai juste barré cher parce que ma maman elle m’a appris que mentir, eh bah c’est mal -, c’est que j’essaie de noyer le poisson. Ce qui est con puisqu’il vit sous l’eau. Ce qui est précisément mon objectif. L’article qui va suivre, tâchera néanmoins d’être à la hauteur du sommet de la littérature fantastique que voilà : David Eddingsfeaturing Madonna Leigh Eddings – là j’ai barré Madonna parce que j’aime bien barrer des trucs.

Autant vous le dire tout de suite, ça va chier dans les boîtes jaunes, désolé d’avance pour les amis postiers.

Composer une photo : Althalus c'est un voleur donc dague, et l'histoire se base sur des grimoires, donc PAF, faux vieux livre en cuir. Et hop, ça fait une photo remplissage.

Composer une photo : Althalus c’est un voleur donc dague, et l’histoire se base sur des grimoires, donc PAF, faux vieux livre en cuir. Et hop, ça fait une photo remplissage.

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Interview de Julien Campredon / 19.12.14

Interview de Julien Campredon.

Billet à lire : Brûlons tous ces punks pour l’amour des Elfes.

Présentation

Bonjour, t’es qui ? Julien Campredon, gémeaux. (Voir : Question travail, instables par nature, les Gémeaux aiment avoir de l’espace pour exprimer leur existence. Bourlingueurs, artistes ou reporters, ces métiers sont compatibles avec le caractère des Gémeaux. L’agitation étant une composante essentielle chez les Gémeaux, les professions qu’ils embrasseraient volontiers sont celles qui nécessitent déplacements et voyages. Mais à courir trop de lièvres à la fois, les Gémeaux ont tendance à ne jamais parvenir à bout de leur entreprise.)

Ca va ? Comme un gémeaux.

Et sinon, tu as un vrai métier ? Gémeaux.

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Y f’rait beau voir / Roverandom

Roverandom (Roverandom)

John Ronald Reuel Tolkien

Comme dit dans la news de fin d’année, l’année 2015 s’ouvre pour moi sur un Tolkien Challenge qui me permettra enfin de me motiver à relire l’intégrale de Tolkien Père & Fils concernant les Terres du Milieu. Si je précise que je relirai tout ce qui concerne la Terre du Milieu, c’est fort justement parce qu’il y a aussi d’autres ouvrages du maître anglais qui sont plus ou moins, plutôt moins, liés à cet univers. C’est pourquoi je vais commencer par vous présenter l’un d’eux.

Huuu, what ? Oui, parfaitement, mais il y a une raison expliquant cela. En effet, si les Lettres du Père Noël constitue un ouvrage formidable pour peu qu’on ait un petit coeur tout saignant, elles n’apportent pas grand chose de ce qui fait la grâce de ce blog : les univers de l’imaginaire – quoique en ce qui concerne le Père Noël…

Roverandom a de multiples intérêts et je vous propose de les découvrir ici. Et puis, au final, même si ce n’est pas un livre qui se passe dans les Terres du Milieu, on peut dire que ça les préfigure pas mal.

Le premier a été écrit en 1927, l'autre rédigé entre la fin des années 20 et le début des années 30.

Le premier a été écrit en 1927, l’autre rédigé entre la fin des années 20 et le début des années 30.

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